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Le Collectif herblinois contre la vidéo-surveillance

ACTION LE 9 JUIN

VOIR LE COMPTE RENDU DE L'ACTION

Organisé par Collectif herblinois contre la vidéo-surveillance

Invitation à la Presse

Dans le cadre de la semaine d'action nationale contre la vidéo-surveillance du 9 au 16 juin

le Collectif herblinois vous informe qu'il organise demain, samedi 9 juin à 11 H du matin, une série d'actions d'information publique auprès de la population. La première action se déroulera Place des Thébaudières à St-Herblain (à c™té d'Auchan).

Contact : 06 72 51 26 22

Le Collectif herblinois contre la vidéo-surveillance Soutenu par : CLCV (Confédération du logement et du cadre de vie), CNL (Confédération nationale du logement), CSF (Confédération syndicale des familles), ESHA (Ensemble St-Herblain Autrement), FA (Fédération anarchiste), FFMC 44 (Fédération Française des Motards en Colère), GASPROM (ASTI de Nantes), LDH (Ligue des droits de lHomme), Les Alternatifs, SAF (Syndicat des Avocats de France), SCALP (Section carrément anti-Le Pen), SM (Syndicat de la magistrature), et des habitant-e-s.

 

Rendez-vous devant La Poste Place des Thébaudières le samedi 9 Juin à 11 heures. Collage d'affichettes (format A3 coupé en deux dans le sens de la longueur) sur les poteaux des panneaux de signalisation, éclairage publique, blocs EDF, téléphone - autour de toutes les caméras de St-Herblain - avec le texte qui suit : " Vous êtes dans une zone vidéo-surveillée. Cette information vous est donnée par le Collectif herblinois contre la vidéo-surveillance " et un petit dessin.

Une invitation à la presse à venir voir le collage et interview au Sillon de Bretagne -

Salle Pablo Neruda à Midi au cas où des personnes se présenteraient et nous nous donnons rendez-vous au plus tard à 13 heures au centre social de la rue de la Blanche pour collage dans tous les autres sites de caméras.

c/o LDH
- 10bis, Bd Stalingrad -
44000 Nantes

Tél :06 72 51 26 22
02 51 86 22 39
Fax : 02 40 29 40 60
ldh.nantes@free.fr.

 

CONFERENCE-DEBAT
Retrait de la vidéo-surveillance à St-Herblain.      texte du tract au format rtf
 

   Pour faire respecter le droit à la sécurité, la vidéo-surveillance est inefficace: la délinquance s'adapte ou se déplace. La vidéo-surveillance menace les libertés, coûte cher et est une réponse technique à des problèmes qui attendent au contraire des réponses basées sur le contact humain. La précarité, le chômage, les discriminations créent isolements et souffrances dans les quartiers, en particulier pour les plus pauvres.

Nous demandons des moyens réels :

- le renforcement de la présence humaine de jour comme de nuit (travailleurs sociaux, animateurs, médiateurs, concierges, etc...),

- la création d'espaces de rencontres et d'échanges, en lien notamment avec les associations, pour relancer le dialogue entre les personnes.

La sécurité est l'affaire de tous.


MARDI 30 JANVIER
2001
à 20 H 30

Salle de conférence du Centre social du bourg
126, Bd F. Mitterrand
St-Herblain


Franck BOEZEC, avocat, Président de la commission "Pénal" du Syndicat des avocats de France,
André VITALIS
, universitaire à Bordeaux, spécialiste des médias et des questions posées par la vidéo-surveillance

Entrée libre

 


Conférence-débat organisée par le Collectif herblinois contre la vidéo-surveillance.
Soutenu par : CLCV (Confédération du logement et du cadre de vie), CNL (Confédération nationale du logement), CSF (Confédération syndicale des familles), ESHA (Ensemble St-Herblain Autrement), FA (Fédération anarchiste), GASPROM (ASTI de Nantes), LDH (Ligue des droits de lÕHomme), Les Alternatifs, SAF (Syndicat des Avocats de France), SCALP (Section carrément anti-Le Pen), SM (Syndicat de la magistrature), et des habitant-e-s.
PETITION
  
Pour le retrait de la vidéo-surveillance à St-Herblain
Vous pouvez signer et faire signer la pétition - contact 02 51 86 22 39             texte de la petition au format rtf

Monsieur le Maire,
Nous demandons le retrait de la vidéo-surveillance à St-Herblain. Pour faire respecter le droit à la sécurité, la vidéo-surveillance est inefficace : la délinquance s'adapte ou se déplace. La vidéo-surveillance menace les libertés, coûte cher et est une réponse technique à des problèmes qui attendent au contraire des réponses basées sur le contact humain. La précarité, le chômage, les discriminations créent isolements et souffrances dans les quartiers, en particulier pour les plus pauvres.
Nous demandons des moyens réels :
- le renforcement de la présence humaine de jour comme de nuit (travailleurs sociaux, animateurs, médiateurs, concierges, etc...), - la création d'espaces de rencontres et d'échanges, en lien notamment avec les associations, pour relancer le dialogue entre les personnes.
La sécurité est l'affaire de tous.